A priori, peu en commun entre le Sahara et les neiges presque éternelles du Col. Entre le soleil brûlant et les records de vent. Et pourtant il arrive, par temps de foehn, que les sables chauds s’invitent sur la neige immaculée. Le ciel prend une teinte jaunâtre et la neige se pare d’or. On pourrait croire la photo sortie d’un album sépia de grand-papa.
Bénédicte Rebord