Un froid de canard, un temps à ne pas mettre un saint-bernard dehors et pourtant, ça cancane dans le lac. Les oies n’ont pas la chair de poule et l’eau glaciale leur glisse comme sur les plumes d’un canard. Bientôt sonnera l’heure de retrouver la plaine, mais en attendant, l’alpe semble leur seoir et fort leur plaire.
Bénédicte Rebord