Troisième plus haut col routier de Suisse, le Grand-Saint-Bernard attire, les jours de beau temps, foule de deux-roues, motorisés ou non. Poser (et pauser!) devant les panneaux du col est signe incontestable: la montagne a été gravie, le dénivelé terrassé, les kilomètres avalés. Les clichés des bécanes accolées aux indicateurs fleurissent sur les réseaux sociaux et autres photos de profil. Leur angle de vue, savamment étudié, reflètent un peu la fierté de l’auteur-gravisseur.
Bénédicte Rebord