Sitôt la barrière du Super levée et la route ouverte, l’Hospice et le bâtiment Saint-Louis se muent en une joyeuse ruche bourdonnante. On nettoie, on cloue, on pelle les derniers névés. Chacun s’affaire, vaillant ouvrier, à la mission qui lui est assignée en y mettant le meilleur de lui-même. On court parfois un peu, mais avec le sourire. Tout sera prêt pour l’ouverture de l’auberge (le 8 juin) et du musée et du chenil (le 12).
Bénédicte Rebord